PREFACE (évolutive).
Evolutive !… c’est à dire qu’au cours de mes contacts vous serez informé. Je vous recommande le dernier livre de Claude ALLEGRE: « L’IMPOSTURE CLIMATIQUE ou la fausse écologie ». Pas facile d’être décideur… de part la force du business et des lobbies. J’ai déjà une panoplie impressionnante de « mise au placard », une lecture sur http://cozop.com/contrepoints/le_business_lucratif_de_energie_eolienne
et vous comprendrez .
Faites suivre ces informations à vos amis, votre famille. Le plus vous serez nombreux d’avertis, le plus vous pourrez faire pression sur nos gouvernants. Eux mêmes attendent cette pression pour agir. Les lobbies financiers de l’éolien, du photovoltaïque, (bientôt des voitures électriques), sont si puissants que les politiques ne peuvent aller contre, qu’au risque d’un acharnement des médias, des « verts » mal informés et des anti-n’importe quoi.
Lisez bien sur le site » Découverte capitale « et vous verrez que le France est mal partie evec des dépenses inutiles, gigantesques, alors qu’on demande aux citoyens de se serrer la ceinture. Aucun gouvernement de droite comme de gauche ne peuvent aller contre cette stupidité sans l’appui d’un maximum de citoyens avertis.
Attardez vous simplement sur ces deux informations principales: « Decouverte capitale« et Business éolien, puis agissez par l’information.
Le 25/09/…EDF par le Laboratoire National d’Hydraulique et d’Environnement ( LNHE ) me contacte pour mieux comprendre l’HYDRONAMIC. Un rendez-vous est pris à Paris et j’y envoie mon technitien-collaborateur. Un dialogue de sourd, car cette institution comme les autres, ne peuvent traiter avec un inventeur privé. Voici peut être une raison de la fuite des innovations vers l’étranger ! ?… Le scandale se précise puisqu’un appel d’offre de 10 milliards d’€uros est lancé pour l’implantation d’éoliennes marines… technologie dépassée de loin par mon invention. Je viens d’en allerter les plus hauts responsables politiques…. à suivre
Le 26/08… J’apprends qu’un appel d’offres de dix milliards d’euros pour l’éolien marin est lancé. Je suis stupéfait de la clairvoyance de Claude ALLEGRE, dans son livre « l’Imposture Climatique », parlant du monde scientifique tout comme de la secte verte, qui marchent sur la tête.
Le 26/06… J’ai le sentiment par ma découverte inattendue sur les hydroliennes, d’être dans la justesse d’un avenir salutaire pour la totalité de notre planète. Ferais-je un excès d’orgueil ?… Les ressources fossiles, c’est compris par tous, sont épuisables et mettront de millions d’années à se reconstituer. Je demande d’être écouté par nos gouvernants. Ce sont eux, les responsables décideurs. Même si je suis un « trouveur » qui vient perturber, je m’adresse à eux, aux entreprises, aux chercheurs, tout ceux qui se sentent interpelés pour apporter un service à toutes les populations, pour leur dire que nous sommes complémentaires. Je viens de découvrir que je ne suis plus seul à lutter contre ce qui peut devenir un scandale. Un courageux Député, Bernard CARAYON, dénonce le business éolien sur le dos des consommateurs d’électricité … c’est à dire nous tous. Sachez qu’il en est de même pour le photovoltaïque. Il se prépare le même scandale avec les hydroliennes classiques. L’éolien,l’hyddrolienne classique, le photovoltaïque, les taxes carbone, étaient justifiés, faute d’autres solutions. Avec l’hydrolienne nouvelle génération « l’Hydronamic », ignorer cette découverte, relèvera de la faute professionnelle pour nos gouvernants actuels.
Le 04/06 j’ai relancé le contact avec le Président de l’ADEME de France, suivant les instructions du Directeur du Cabinet du Ministre Jean-Louis BORLOO. Le premier contact qui datait du début Mars était resté sans suite. Le devenir de mon hydrolienne est tributaire d’une volonté politique… (suite?)… une pirouette comme les précédentes…
Le 19/ 06 mon Député Jean-Charles TAUGOURDEAU me fait part de l’intervention du Président de la République Nicolas SARKOZY auprés de Jean-louis BORLOO Ministre de l’Ecologie et de Chantal JOUANNO, secrétaire d’Etat chargée de l’Ecologie, pour soutenir mon concept d’hydrolienne, l’Hydronamic. Avec mon technicien collaborateur et un médiateur, nous allons entrer dans la phase de négociation avec une, puis plusieurs entreprises.
Le 13/07. A partir de maintenant, je vais rentrer dans une période de discrétion pour ne pas perturber le bon déroulement du transfert d’exploitation.
A bientôt !… Y.R.
Des algues, prisonnières des pales d’une hydrolienne, vont diminuer considérablement les performances par augmentation de trainées. Les pales de l’Hydronamic se déplacent dans un mouvement ondulatoire à environ la 1/2 vitesse du flux. Si la vitesse de celui-ci est de 7 kmh, les pales se déplacent à 3,5 kmh °. Une algue chevauchée sur le bord d’attaque d’une pale, aura beaucoup moins de conséquences sur sa performance. La faune, plus petite que les déflecteurs, passe sans encombre entre les pales ondulentes. Aucun risque de guillotinage.
Les pieds (6) laissent passer un courant laminaire pour éviter l’envasement. Un déflecteur (1) à barres espacées tous les 15 cms, est justifié pour dériver, par dessus les caissons, les branches et déchets les plus importants. Un seul déflecteur est placé en amont, dans un courant continu. En mer, un autre à l’opposé, protégera des courants alternatifs. Les boucles (3) permettraient le levage sous catamaran pour une maintenance à sec.
Ce ne sont que des approche, le concept étant l’affaire d’ingénieurs. Ma coopération s’arrêtera au transfert de propriété et à la validation chiffrée de mes recherches.
° Tout comme la vitesse alternative de la nageoire arrière d’un poisson par rapport à sa vitesse d’avancement. Yves ROUSSEAU.
Yves Rousseau
hydronamic@free.fr
Réponse AVIELLE N°1
Mes réponses ne peuvent commencer sans une introduction.
Je fonctionne au ressenti, dans le concret des expérimentations grandeur nature. Les formules mathématiques, pour l’instant, sont mises en veille.
Je m’en explique: Rouler sur deux roues !… un peu bizarre ce Français Monsieur de Sivrac en 179O … pas tant que cela puisque le baron Drais y affuble une roue avant directrice et invente la Drasienne en 1817.
Les formules mathématiques de l’époque prouvaient que ce n’étais pas possible et c’est bien longtemps après que l’on à compris pourquoi nous tenions en équilibre sur deux roues.
Mon refus d’ètre aidé n’est pas un excès d’orgeuil… cette recherche sur le vol battu à force musculaire demande une telle concentration, je ne pouvais être distrait par X et X données scientifiques qui ne pouvaient que m’éloigner de la solution cherchée.
J’ai en même temps répondu au Président de l’URVAM Aimeric d’Annoville. Il déplore que chacun cherche de son côté.
L’information et l’échange d’idées est à un moment indispensable. L’URVAM rassemble le travail des chercheurs du monde entier.
Quand l’HYDRONAMIC sera exploité par un industriel, je suis partant pour intégrer un groupe de travail.
Je réponds à AVIELLE.
Je ne comprends pas la question du flux stationnaire. L’HYDRONAMIC ne peut se mettre en action Que si le flux se déplace (courant d’eau). Il est donc instationnaire. Ce qui est stationnaire, c’est la machinerie. Elle récupère l’énergie de ce flux par portance sur des pales ondulatoires. L’orifice en est rectangulaire et non circulaire.
Je me permets même de dire, concernant les turbines « Francis, Pelton et Kaplan » que les rendements annoncés de 9O% ne peuvent être que faux. Je ne vais même pas chercher comment un tel résultat a été sorti.Les meilleurs résultats connus étant de 1060 W.m2, il me serait impossible d’obtenir avec mon « Hydronamic » 3475 W.m2, toujours à 7 kmh de vitesse de flux.
Ma réponse va être longue et je m’en excuse. Pour ne pas m’attirer la foudre des chercheurs je suis contraint à m’expliquer.
La puissance fournie est facile à connaître. La puissance récupérée est tout aussi facile à quantifier. Un avion,de puissance X à son moteur, va nous donner la puissance Y de traction à l’hélice. Si j’affirme que X= 1000 kgs et que Y= 1OO kgs, soit 10%, la foudre me tombe sur la tête à cout sur.
Pour éviter les formules rébarbatives pour le commun des mortels, je vais m’expliquer le plus simplement possible.
Nous nous sommes tous amusés à sortir la main au dehors d’une portière de voiture pendant que celle ci roulait. A 20 kmh le flux d’air créé est doux. Maintenant, à 100 kmh, la résistance va devenir violante. Comment quantifier cette force ?… Il suffit d’installer une plaque de contreplaqué, placée perpendiculairement au courant d’air, sur le capôt d’une voiture et à l’arrière de ce contreplaqué, un appareil qui mesure la pression. Immaginons, vu la surface de la plaque, nous constatons qu’a 30 kmh, la pression est de 10 kgs. Si je suis logique, en doublant la vitesse je vais avoir 20 kgs de pression. On accélère à 60 kmh …surprise je vois 100 kgs de pression, ceci simplement pour vous démontrer que la résistance est proportionnelle au carré de la vitesse: ce n’est donc pas 10X2=20 mais le carré 10X10=100. C’est bien connu puisqu’on vous incite à rouler moins vite pour consommer beaucoup moins.
Fort de cette constatation, parlons de l’hélice d’un avion. La vitesse en boût de pales pour la pleine puissance nécessaire au décollage, se trouve souvent entre 600 et 800 kmh. C’est cette résistance qui s’appelle pour les spécialistes « traînée »,qui explique le faible le rendement de 10%.
Parlons des éoliennes: pales de 40 m, vitesse de rotation: 1 tour pour 5″ donc 12 tours minute. L’extrémité des pales, vous allez ètre surpris, sont à 181 kmh et le bon rendement d’une éolienne est par un vent de 40 kmh. L’extrèmité des pales frisent les 3OO kmh, ce qui explique le siflement, (gène des riverains.) Le résultat à l’axe de l’hélice est pour la mème raison de 10% de la force totale. Sachez que l’activité moyenne est de 20% du temps, l’investissement en est donc multiplié par cinq pour comparer à une activité de 100% !… Là, la foudre se prépare.
J’argumente ce que j’affirme ci dessus.
Vous pouvez voir sur le lien « URVAM » l’expérience du « Veli-Ascender ».
L’expérience avait été mené avec le concours du lycée de « la Baronnerie » d’Angers.(Paris-Match de Juin 1990). Avec une poussée moyenne sur le pédalier de 35 kgs, la poussée à l’hélice était de 3,5 kgs. Douze kgs m’étaient nécessaires pour me tenir en vol. Si je pose le pieds sur la balence de ma salle de bain,je retire bien vite la pression, les 12 kgs sont atteints sans efforts. Cela veut dire que si l’homme disposait d’une machinerie rentable seulement à 35%, il peut voler à la force musculaire.
Je continue mon argumentation.
Une de mes négociations avec une firme industrielle a échouée au sujet du fameux rendement de 10%. Le PDG me met en contact avec son ingénieur en chef, Mr xxx (il va se reconnaitre). Il affirme que les hélices atteignent 5O% de rendement. Il est vrais que cette firme construit ou va construire des éoliennes. Y aurait-il de bluff dans l’air ?… Les affirmations, je les ai expérimentées avec mon « Véli-Ascender » j’obtenais 3,5 kgs ( Paris-Match 1990 ). Elles concordent avec l’ingénieur Mac CREADY. Il n’obtenait que 4,5 kgs de traction à l’hélice de son « Daédalus » mue par un athlète de haut niveau. Dans son livre « Nos maîtres les oiseaux » : Etienne OEHMICHEN cite l’expérience suivante : « D’après des mesures sur un film de l’envol vertical d’un pigeon, on retient les valeurs suivantes : Envergure 0,61 m. Vitesse d’extrémité d’aile 6m/s ». Donc, un pigeon d’une envergure de 0,61m. battant des ailes, en vol stationnaire, vitesse en bout d’aile 6 m/s (environ 5 battements/s) soutient son poids de 0,400 kg. A la suite de quoi, il a construit une très bonne hélice de 0,61m de diamètre, il lui à imprimé une vitesse de rotation donnant en bout de pale une vitesse de 6 m/s, et, n’a mesuré une sustentation que de O,O4O kg, soit, 10 fois moins. Faisant tourner l’hélice deux fois plus vite, il n’a mesuré qu’une sustentation de 80 g!. Pensant que peut être, les ailes emplumées pouvaient donner la réponse à cette énigme, il fabriqua une nouvelle hélice, avec deux ailes de pigeons et cela fut bien pire.
Nous pouvons affirmer aujourd’hui que les ailes ou pales battantes ont un rendement nettement supérieur aux hélices et turbines actuelles. L’expérience des oiseaux (ci dessus) est de 10 pour 1. De part mon travail aérien, je suis dans les 9/10 èmes restants. J’en suis à 3,12/10 èmes, il reste donc une grande marge de progrès. C’est là l’ampleur de cette innovation.